Le 25 septembre à Tafas, l'armée du Nord rencontre des habitants en fuite qui ont été témoins d'un massacre commis par les troupes ottomanes pendant leur retraite : 40 femmes et 20 enfants ont été abattus. Le 146e régiment allemand est la dernière unité à quitter la ville[4]. Les hommes des tribus commencent aussitôt à piller malgré les protestations de Nasib[28]. Gertrude Bell, en 1907, écrit : « Damas maintient et garde le souvenir des plus grandes traditions arabes. Il est en ligne sur le front d'El Alamein, en octobre , et sur celui de la campagne de Tunisie en 1943. Dans l'histoire militaire soviétique, le nom de cette bataille est l’ opération défensive de Kiev (Киевская оборонительная операция), avec un début le 7 juillet. La bataille de Damas (arabe : معركة دمشق), chute de Damas (turc : Şam'ın düşmesi) ou prise de Damas (anglais : capture of Damascus) est une bataille de la Première Guerre mondiale. Les Turcs en retraite évitent le combat mais il arrive que des traînards turcs soient tués par les habitants[14]. Les Perses défont l’Empire romain d’Orient lors de la bataille d’Apamée : le début d’une nouvelle conquête persane de la Syrie. Les volontaires irréguliers, au nombre d'un millier au départ d'Azraq, appartiennent à diverses tribus de la région : les Taoueïha (Howeitat), Ruwallah, Bani Sakhr (en)[8]. L'armée déploie aussitôt des chars dans les rues de la capitale, les rebelles s'abritent alors dans des ruelles inaccessibles aux chars et aux blindés[2], tandis que des habitants favorables à l'insurrection brûlent des pneus dans les rues pour entraver les mouvements des forces de sécurité[2]. Elle oppose les forces pro-Assad composées des soldats de l'armée régulière, des services de renseignement et des milices aux rebelles de l'Armée syrienne libre. Historine poursuit son étude de l'armée du Levant en vous donnant l'ordre de bataille des troupes de vichy en juin 1941 (début de la campagne). 1261-1277 Les Mongols sont repoussés par les Mamelouks, anciens esclaves affranchis des Ayyoubides, menés par le sultan … Après les combats de Tunisie elle ... il s'évade de Madagascar en 1941 en goélette et parvient à Dar Es Salam au Tanganyika. La ville sera maintenue sous son actuelle administration civile et aucun drapeau national ne sera levé »[11]. La dernière modification de cette page a été faite le 21 septembre 2020 à 08:08. Quatre à six mille personnes sont tuées. Pendant ce temps les groupes de Billotte, Dronne et Sarazac réduisent les forces de l’ennemi qui se trouvent en bordure de la Haute-Marne près d’Andelot puis foncent sur Vittel. Elle reste dans les mémoires à cause des combats urbains qui n'ont épargné ni les civils, ni les militaires. Les combats durent deux semaines, … La 4e armée ottomane, commandée par Mehmed Djemal Pacha (surnommé Küçük Djemal, « Djemal le petit », pour le distinguer de son prédécesseur Djemal Pacha) tient la rive orientale du fleuve et n'a encore subi que des raids mineurs de la guérilla de la révolte arabe[1]. Les deux hommes se réconcilient pour soutenir Lawrence contre les frères al-Djezaïri qui, par crainte d'un affrontement, doivent quitter la salle. Le major Olden se rend au sérail (palais gouvernemental) de Damas pour s'enquérir des autorités locales : il est reçu par Mohammed Saïd qui lui propose un défilé triomphal dans le centre-ville. Allenby ordonne alors à la division montée de l'ANZAC, corps de cavalerie commandé par le général néo-zélandais Edward Chaytor (en), de couper la retraite de la 4e armée en s'emparant d'Amman où les Britanniques avaient subi deux échecs en mars et avril 1918. Pour les chercheurs et universitaires Adam Baczko, Gilles Dorronsoro et Arthur Quesnay, « la bataille de Damas résulte d'une demande des soutiens arabes et occidentaux de l'insurrection, qui estiment qu'une poussée sur la capitale peut faire tomber le régime. Chauvel télégraphie à ses unités : Les révolutionnaires s'engagent donc dans une attaque frontale contre les divisions les plus aguerries du régime »[4]. Le chérif Nasser entre au palais municipal et commence à discuter avec les frères al-Djezaïri. Menacées d'encerclement par les forces britanniques de l'Egyptian Expeditionary Force et les insurgés arabes, elles doivent abandonner Damas. Choukri al-Ayoubi, chef respecté par ses soldats et par la population, convoque au palais municipal les partisans du mouvement chérifien pour former une administration de transition. Ils ont plus de mal à franchir le Litani où les vichystes ripostent . Lawrence, interloqué, répond qu'il n'avait jamais entendu parler d'un tel projet [33],[38],[39]. Le 30 septembre, elle fait 600 prisonniers turcs et arrive au sud de Damas[15]. Les Allemands ont pris la Grèce et viennent de pénétrer en … La « seconde » bataille d'Amman (en) (25 septembre) est un succès : la division de l'ANZAC capture 5 000 à 6 000 soldats ottomans qui se repliaient de Ma'an vers Amman, plus la garnison de la ville et du chemin de fer d'Amman, soit 10 000 prisonniers au total[2]. ... (1941) Attentats de Damas (1986) Jeux panarabes (1992) Printemps de Damas (2000) Déclaration de Damas (2005) Capitale arabe de la culture (2008) Attentats de Damas (2011) Bataille de Damas (2012) Attentat de Damas (2012) Bataille de la Ghouta orientale; Moscou, Bataille de (1941-1942) Moscou (Russie) -- 1941-1942 (Siège) Opération Typhon (1941-1942) Taifun, Unternehmen (1941-1942) Typhon, Opération (1941-1942) Unternehmen Taifun (1941-1942) Page de lieu : Moscou (Russie) La période : 1941-1942: Notices thématiques en relation (1 ressources dans data.bnf.fr) Termes plus larges (1) Guerre mondiale (1939-1945) -- Campagnes et … Choukri al-Ayoubi prend l'initiative de faire libérer les prisonniers de la citadelle parmi lesquels, malheureusement, il se trouve davantage de condamnés de droit commun que de politiques : les pillages ne tardent pas à commencer[22]. Barrow laisse la 10e brigade à Deraa pour assurer la sécurité[13]. L'attentat porte un coup sévère au régime[1]. La cavalerie de l'ANZAC tient alors une ligne discontinue entre Jénine et Afoula, la 5e division de cavalerie anglo-indienne (général MacAndrew) pousse une pointe au nord et s'empare de Nazareth, sans pouvoir bloquer complètement la retraite des forces ottomanes . Bonne lecture. Les forces britanniques et arabes réunies entrent dans Deraa où elles trouvent une réserve de fourrage, mais aussi un train rempli de blessés turcs que les irréguliers arabes commencent à piller et massacrer. Après quelques escarmouches avec les Tcherkesses, venus du Caucase russe et établis dans cette région par les Ottomans, les Australiens entrent sans grande difficulté dans Qouneitra. L’absurdité est à son comble avec la présence dans l’ordre de bataille allié de la 1re Division française libre. La bataille de Damas (arabe : معركة دمشق), chute de Damas (turc : Şam'ın düşmesi) ou prise de Damas (anglais : capture of Damascus) est une Mais le même jour, les insurgés prennent d'assaut le siège de la police de la province de Damas, qui est pillé et incendié[2]. Les marines britannique et française s'affrontent le long des côtes. Elle oppose les forces pro-Assad composées des soldats de l'armée régulière, des services de renseignement et des milices aux rebelles de l'Armée syrienne libre. L'armée du Nord arrive derrière eux. L'attaque commence à 2 h du matin le 8 juin . Le général Harry Chauvel, arrivé entre-temps, rencontre Lawrence pour la première fois : non sans réticences, le général accepte de laisser l'autorité aux forces chérifiennes sans pour autant se prononcer sur leur légitimité politique[31]. Les Arabes sabotent la voie ferrée et retardent la retraite ottomane mais ne sont pas en force pour affronter le gros de la 4e armée, encore nombreuse et bien commandée. Des escarmouches précèdent la bataille. Selon des opposants, les loyalistes exécutent sommairement au moins 20 jeunes hommes à Mazzé, tandis que d'autres exécutions ont lieu à Barzé[11]. La cavalerie britannique et australienne se met en route avec très peu d'approvisionnements : un jour de fourrage et deux jours de vivres, de sorte qu'elle doit réquisitionner en route. Ce fut le BM1 (bataillon de ... tués de cette bataille. L'attaque est revendiquée à la fois par l'Armée syrienne libre et par le groupe islamiste Liwa al-Islam[1],[9]. D’une part, l’armée est non seulement petite, mais également peu préparée à la guerre. Il s’est d'abord situé à Al-Madrasa Al-Adiliyeh, bâtiment historique de la vieille ville datant des XII e et XIII e siècles. Massacre de Damas (1860) État de Damas; Bataille de Damas (1941) (en) Attentats de Damas (1986) Jeux panarabes (1992) Printemps de Damas (2000) (en) Déclaration de Damas (2005) Capitale arabe de la culture (2008) Attentats de Damas (2011) Bataille de Damas (2012) Attentat de Damas (2012) Bataille de la Ghouta orientale La 4e division de cavalerie anglo-indienne (en) (général George Barrow (en)) doit suivre la ligne du chemin de fer par Deraa pour arrêter les restes de la 4e armée. Le 12 juillet, l'armée syrienne tire des obus de mortier sur des vergers à al-Laouane et Basatine, aux abords du quartier de Kfar Soussé, au sud de Damas[5]. La 7e armée ottomane (53e et 10e divisions) commandée par Mustafa Kemal Pacha (le futur « Atatürk »), affamée et épuisée, n'est pas en mesure de rétablir un front solide mais se replie en bon ordre par la rive ouest du Jourdain en livrant des combats de retardement. Rassurez l'opinion publique, et annoncez la constitution du gouvernement arabe. ... 2 mai 1941 : … La dernière modification de cette page a été faite le 15 février 2020 à 16:37. Ils furent stoppés par les tirs des tirailleurs sénégalais du 17e RTS (Armée du Levant). Mehmed Djemal Pacha et son état-major à cheval, n.d. Chemin de fer à Al-Shajara près de Tibériade, 1908, Soldats de la révolte arabe, v. 1916-1918, Cavaliers britanniques de la Gloucester Yeomanry à Damas, 2 octobre 1918, Cavaliers indiens de la 9th Hodson's Horse à Damas, 2 octobre 1918, Ville et gare du Hedjaz à Damas, Le Miroir, octobre 1918, Soldats australiens de la 4th Light Horse Brigade rassemblant des prisonniers ottomans devant l'hôpital de Damas, octobre 1918, Prisonniers de guerre ottomans à l'hôpital de Kaukab près de Damas, 1918, Sultan el-Atrache à la tête des guerriers druzes, 1925, L'émir Fayçal sortant du QG du général Chauvel à Damas, octobre 1918. Entre-temps, l'armée chérifienne de l'émir Fayçal se regroupe à l'est de Deraa, autour d'Azraq, rejointe par de nombreux irréguliers locaux comme les Bani Sakhr (en). Choukri, surpris, laisse la présidence du conseil à Mohammed Saïd. Capitales arabes de la culture. Plus de 70 ans plus … La bataille de Stalingrad avec la bataille de Moscou (décembre 1941), la bataille de Koursk (juillet 1943) constituent l'une des grandes défaites de l'armée Allemande et elle fut considérée comme un tournant stratégique de la Seconde Guerre Mondiale. En tout, 20 000 soldats ottomans se rendent aux Britanniques dans ou autour de Damas et à peine 4 000 hommes arrivent à battre en retraite jusqu'à Alep[4]. Cet épisode ternit l'image de la cause arabe et laissera de longs remords à Lawrence[9]. ... et les forces alliées en juin-juillet 1941. Siège de Damas (1148) Pachalik de Damas; Affaire de Damas (1840) Massacre de Damas (1860) État de Damas; Bataille de Damas (1941) Attentats de Damas (1986) Jeux panarabes (1992) Printemps de Damas (2000) Déclaration de Damas (2005) Capitale arabe de la culture (2008) Attentats de Damas (2011) Bataille de Damas (2012) Attentat de Damas (2012) À l'intérieur des remparts se trouvent plusieurs monuments comme la mosquée des Omeyyades, le palais Azem ou encore le caravansérail Khan Assad Pacha.Rues ou … Cependant ils ne disposent que d'armes légères[1] et si certains combattants sont des déserteurs de l'armée syrienne, d'autres sont totalement inexpérimentés[3]. Allenby décide de reprendre l'offensive pour s'emparer de Damas avant que Liman von Sanders n'ait le temps de former un nouveau front entre Haïfa et la vallée du Yarmouk. Le lieutenant-colonel T.E. Mais Lawrence arrive et, furieux, réclame la démission des deux frères qu'il considère comme des traîtres[30],[28]. Les lieux concernés résonnent pourtant encore dans l’actualité : Damas, Beyrouth. La bataille de Damas en images Paris Match | Publié le 19/07/2012 à 16h48 . Sous le joug des Mamelouks. Ordre de bataille au 8 juin 1941 - VICHY. Histoire - Les victimes de la bataille de 1941 Les cimetières français oubliés de la zone occupée au Liban-sud(photo) ... À Damas, le régime sort les matraques contre les intellectuels. Dirigé sur le Caire, il s ... il est affecté au Bataillon de Marche n° XI à Damas. Cependant, Yassin al-Hachimi est repassé du côté des Ottomans : après avoir commandé une division du XVe corps en Galicie, puis la garnison de Tulkarem, il est blessé à la bataille de Salt ; en convalescence à Damas, il est hors d'état de jouer un rôle politique[18]. Elle était la plus vieille cité encore vivante au monde et nous nous demandions, en contemplant les incendies [allumés par les Turcs], si nous n'allions pas assister à sa première destruction. Le chef du gouvernement provisoire : Émir Saïd ». Ce groupe comprenait le docteur Ahmad Qadri, du parti Al-Fatat, le docteur Abderrahman al-Shabandar, futur ministre de Fayçal dans l'éphémère royaume arabe de Syrie, et deux généraux arabes de l'armée ottomane, Yassin al-Hachimi et Rida al-Rikabi, auxquels se joint le cheikh Badreddin al-Hassani, chef des oulémas de Damas[17]. Au sud, les loyalistes reprennent Qadam et Aassali le 24 juillet[12],[13]. En effet, les accords du Caire, conclus en juillet 1918 entre Britanniques et délégués arabes, prévoyaient de mettre sous administration chérifienne tous les territoires qui seraient libérés par les Arabes[15]. En rose, les quartiers touchés par les combats lors de la bataille de Damas. »[16]. Selon Kassem Saadeddine, porte-parole du commandement de l'Armée syrienne libre (ASL), 2 500 combattants sont mobilisés dans l'opération[2]. Un officier français, le colonel de Piépape, est nommé gouverneur de Beyrouth par Allenby[42]. Le massacre de Damas du 9 au 18 juillet 1860 est celui de chrétiens par des druzes. Mehmed Djemal Pacha, qui redoute des troubles à Damas et prépare l'évacuation de la garnison turque, confie à Abdelkader la formation d'une force de police auxiliaire d'un millier d'hommes, des Maghrébins pour la plupart, tandis que Mohammed Saïd, en échange d'une forte somme, garantit la sécurité d'un certain nombre de bâtiments[21]. « Pendant des millénaires, Damas a été convoitée par des rois guerriers et le flot des batailles a souvent déferlé autour d'elle mais la cité était un si merveilleux joyau que les conquérants barbares et leurs hordes ne l'ont jamais détruite. Depuis lors, les … En France, on en retient avant tout la confrontation entre la France de Vichy et la France Libre. 629 ... La dynastie des Ayyoubides est chassée par les Mongols qui occupent les environs d’Alep et de Damas. Le quartier traditionnel est divisé entre la partie située à l’intérieur de l’ancienne enceinte de la ville, connue comme Shaghour al-Juwani, … Le 1 er octobre 1918, la 3 e brigade australienne dirigée par le major 'Harry' Olden entre à Damas, ... En juin 1941, après trois semaines d'une violente campagne militaire, Damas est reprise aux troupes de Vichy par des régiments britanniques et les Forces françaises libres (FFL). « En arrivant à Damas, une position défensive sera établie sur les hauteurs qui entourent la ville et la division arrivant en tête prendra les dispositions utiles pour faire face à toute approche ennemie. L'arrivée de Rida al-Rikabi permet de mettre sur pied une autorité provisoire sous tutelle hachémite[31]. Les loyalistes reprennent le contrôle du quartier de Midane et pénètrent dans le quartier Jobar, à l'est, ainsi que dans celui de Kfar Soussé au sud-ouest[10]. La bataille a duré du 7 août au 26 septembre 1941 dans le cadre de l'opération Barbarossa [1]. L'offensive rebelle débute le 15 juillet : des milliers de rebelles s'infiltrent dans la capitale et prennent le contrôle de plusieurs quartiers[4]. Lawrence, conseiller de Fayçal, pense que les Arabes doivent remporter une action mémorable pour peser dans la prochaine conférence de paix[5]. Armée de l'air Groupes de Chasse G.C. Mais, en feignant l'ignorance et l'indignation, Fayçal et Lawrence se mettent en position plus avantageuse face aux spectateurs arabes de la scène[40]. La nuit est troublée par des explosions de dépôts et des incendies[26]. Dans de telles circonstances, le commandement soviéti… Il arrête sa voiture pour permettre au chérif Nasser d'entrer en premier dans la ville à la tête de sa garde à cheval. C'est seulement le 2 octobre que Chauvel envoie en ville un contingent significatif de troupes australiennes[33]. Les forces allemandes et satellites (190 divisions, 3 700 chars, 4 000 avions), aux ordres de Walter von Brauchitsch, sont articulées en trois groupes d'armées (von Leeb, Bock et Rundstedt), ayant pour objectifs Le 6 octobre, Choukri al-Ayoubi fait lever le drapeau chérifien sur Baabda mais le soir même, il est obligé de quitter Beyrouth sous la pression des Français. Le 3 octobre, Fayçal quitte Deraa par le train et arrive à Damas pour défiler à la tête de 1 500 cavaliers sous les acclamations de la foule[37]. Fayçal est désagréablement surpris quand Allenby lui apprend que le Royaume-Uni ne reconnaît pas la souveraineté chérifienne sur la Syrie mais considère qu'elle fait partie des « territoires ennemis occupés » soumis à l’administration militaire britannique : en outre, la côte du Liban sera placée immédiatement sous l'autorité française, tandis que l'intérieur de la Syrie est appelé à devenir un protectorat français. Il y a une controverse entre les vainqueurs pour savoir lequel est entré le premier dans la ville, ce qui constitue un facteur de prestige et de pouvoir politique important[27]. Entre-temps, une dispute aux motifs inconnus a éclaté entre Aouda Abou Tayi, un chef bédouin, allié de longue date des Hachémites qui s'est illustré dans la prise d'Aqaba en juillet 1917, et Sultan el-Atrache, important chef druze au ralliement plus récent. Retardée d'un mois par la campagne des Balkans, l'offensive générale du Reich contre l'URSS, minutieusement mise au point depuis l'automne de 1940 par l'état-major allemand, se déclenche le 22 juin 1941. Les combats se poursuivent à Roukneddine au nord, et à Mazzé et Daraya au sud-ouest[10]. Fayçal, indigné, déclare qu'un royaume sans débouché sur mer n'est pas acceptable. Année Ville Membre participant 1996 Le Caire [1] Égypte: 1997 Tunis [2] Tunisie: 1998 Sharjah [3] ... Damas [13] Syrie: Le 18 juillet, les combats se rapprochent du palais présidentiel, dans le quartier de Mazzé[2]. Les révolutionnaires s'engagent donc dans une attaque frontale contre les divisions les plus aguerries du régime ». Ismaïl Bey, dernier gouverneur du vilayet de Beyrouth, et Mumtaz Bey, dernier gouverneur du moutassarifat du Mont-Liban à Baabda, quittent la ville après avoir remis le pouvoir aux civils locaux et ordonné l'évacuation de la garnison turque[25]. La brigade montée australienne (brigadier général Wilson) devait contourner Damas pour occuper la route de Homs mais Wilson, craignant de perdre du temps sur les chemins détournés, décide de traverser la ville. Environ 40 000 soldats ottomans et allemands, principalement de la 4e armée, refluent vers Damas, mais largement désorganisés et incapables d'opposer une résistance efficace[4]. Le 14 avril, des combats éclatent dans le quartier de Hajar al-Aswad, également au sud de Damas[2]. Le 26 septembre, Fayçal ordonne de marcher vers Damas[5]. Le 25 mai 1941, elles sont réunies pour former la Première Division Légère Française Libre (1e DLFL). Les combats durent deux semaines, mais l'offensive est un échec : l'armée syrienne reprend le contrôle du centre de la ville est les rebelles sont repoussés en périphérie. Damas est une ville d'une grande importance symbolique. Le 1er octobre à 5h du matin, les cavaliers australiens traversent les quartiers nord-ouest sous les acclamations des habitants. En bas à droite, arrivée sur le champ de bataille du Captain Hackett de La contestable phrase affirmant que les Soviétiques se sont assurés la victoire durant la Seconde Guerre mondialeen « jetant des corps sur les Allemands » est bien loin de la vérité et encore plus lorsque l’on évoque la bataille de Moscou. Cependant, le gros de la 4e armée lui échappe car le général Otto Liman von Sanders, commandant allemand de l'armée ottomane, lui avait ordonné de se replier vers le nord dès le 21 septembre[3]. Il n'arrive à Beyrouth que le 5 octobre, les Turcs en retraite ayant coupé les rails du chemin de fer de Beyrouth à Damas. Bataille de Palmyre (1941) La bataille de Palmyre a lieu du 20 juin au au cours de la campagne de Syrie, lors de la Seconde Guerre mondiale. Des combats éclatent aussi près du siège du gouvernement et près des bureaux du Premier ministre[2]. L'avant-garde du régiment anglais Dorset Yeomanry entre en contact avec Lawrence et les troupes chérifiennes près de Deraa. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mohammed Saïd envoie un télégramme à Beyrouth : « Vu la reddition de l'Empire ottoman, nous avons édifié le gouvernement hachémite sur les colonnes de l'honneur. Deux notables de Damas, les frères Abdelkader et Mohammed Saïd al-Djezaïri, descendants du grand émir algérien Abdelkader ibn Muhieddine qui avait fini sa vie à Damas, jouent double jeu entre les nationalistes arabes et les Ottomans. Le Djebel Maani – 11 juin 1941 Le Djebel Maani, en avant de la position de défense principale de Damas, domine la région du haut de ses mille mètres. P. E. Pierrard, "Capitaine Rosario PISANI (1880-1951)", L'Algérianiste, n)70, juin 1995, Chris Elliot, "How I discovered the truth about Lawrence of Arabia’s Rolls-Royce", Cambridgeshire Live, 2 juillet 2017, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bataille_de_Damas_(1918)&oldid=174898611, Bataille de la Première Guerre mondiale impliquant l'Empire ottoman, Bataille de la Première Guerre mondiale impliquant le Royaume-Uni, Bataille de la Première Guerre mondiale impliquant l'Australie, Article contenant un appel à traduction en anglais, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Première Guerre mondiale/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence.

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