152 n'ont pas atteint le territoire israélien. », Le Ministre des Affaires étrangères letton Edgars Rinkēvičs « condamne fermement les tirs de roquettes contre le territoire israélien par le Hamas et d'autres groupes terroristes » et « reconnait le droit à Israël de protéger la sécurité de sa population. HRW a accusé les organisations palestiniennes de la bande de Gaza d'avoir « violé les Lois de la guerre » en tirant à partir de zones peuplées de civils et en n'éloignant pas sa population des zones militaires. Le 25 août des roquettes tirées depuis la Syrie et le Liban ont atteint Israël sur le Plateau du Golan et en Haute Galilée. Plus de 70 roquettes ont été tirées sur Israël, trois ont été interceptés aux abords de Tel-Aviv. La violence monte au Proche-Orient entre Palestiniens et Israéliens, principalement autour de la bande de Gaza. L'unique centrale électrique a été détruite ce qui a causé l'arrêt du système de distribution d'eau, et une dizaine d'hôpitaux ont été endommagés[171],[172]. Des journalistes de la BBC et Sky News ont confirmé les faits[77]. Il cite le porte-parole du Hamas qui a déclaré que « tous les Israéliens sont désormais des cibles légitimes ». Selon le bureau de la coordination des affaires humanitaires, au 13 juillet, au moins 163 palestiniens ont été tués et environ 1 100 blessés, 70 % des victimes étant des civils, et 21 % des mineurs[134]. Un autre visant Tel Aviv s'est aussi abattu dans une zone inhabitée[55]. Gallagher Fenwick, journaliste anglophone de France 24, est interrompu par « une ou plusieurs roquettes M75 capables d'atteindre Tel Aviv » lancées à « quelques mètres de lui » durant une émission en direct le 3 août. Les habitations d'Ad Idin-Khalad, commandant de la région Sud, et d'Ahmed Randor, commandant de la région Nord, servant de dépôts d'armements selon l’armée israélienne, ont été bombardées[60]. Les points de passage entre Gaza et Israël restent fermés, ceux entre l’Égypte et Gaza peuvent rester ouverts. Selon le journaliste russe Victor Kotsev, le conflit en cours est à mettre au compte du Hamas comme « une tentative […] pour faire échouer la demande - ou à tout le moins pour forcer Abbas à durcir le ton contre Israël »[38]. Le Hamas l'ayant soupçonné de « travailler pour Israël » Il relate que « de jeunes combattants, en civil et munis d’un pistolet dissimulé sous leur chemise, lui ont posé une batterie de questions en forme d’accusations ». Cette plainte a reçu l’appui de 130 professeurs de Droit. Plus de 135 roquettes ont été tirées depuis Gaza sur le sud d'Israël, la plupart a été interceptée. Selon lui, il s'agit « d'un cas manifeste de lancer de roquettes depuis des zones civiles »[158]. En France, l'association Acrimed publie une analyse du traitement médiatique de l'opération Bordure protectrice[207]. Manifestement désireux de se surpasser, l’Etat d’Israël, avec la «guerre de Gaza», a accompli le grand chelem. Manifestement désireux de se surpasser, l’Etat d’Israël, avec la «guerre de Gaza», a accompli le grand chelem. À ceux-ci s'ajoutent approximativement 30 à 40 prisonniers palestiniens exécutés sous suspicion de collaboration[50]. Nombre de Palestiniens tués, blessés ou déplacés à Gaza, par diverses sources : Diverses ONG ont publié des chiffres de dénombrement des combattants palestiniens tués lors du confit. Garantie internationale de l’arrêt des raids transfrontaliers de Tsahal et l'arrêt des attaques contre les pêcheurs de la côte. Le décès de quatre enfants jouant sur la plage tués par des frappes israéliennes accroît encore la colère des Palestiniens[réf. : Strong international pressure helped to contain the Second Gaza War quickly. Selon des sources à Gaza, Khamer Hamri, commandant de l'unité de roquettes du Jihad islamique, a été tué dans un raid israélien. Ces attaques ont fait au moins 44 morts et 227 blessés civils, dont de nombreuses femmes et enfants, entre le 16 juillet et le 26 août 2014. En 2018, la population est estimée à plus de 2 million d'habitants… Dès le début du mois de décembre, le centre palestinien pour les droits de l'homme a modifié ses statistiques et indiquait « qu'au moins deux journalistes » avaient été tués. L'armée israélienne déclare avoir demandé à Breaking the Silence de lui fournir avant la publication du rapport, les preuves concernant les témoignages recueillis afin de pouvoir mener de véritables enquêtes mais l'ONG a refusé. Après avoir dit que le bombardement était une erreur, l'IDF a d'abord prétendu que l'attaque visait Yehia Rabea, un dirigeant du Hamas responsable des tirs de roquettes. Au-delà du symbole, ce vote conférerait un statut à l'État palestinien et en validerait l'existence[34]. Kim Sengupta, journaliste du The Independent écrit quant à lui le 21 juillet que « certains Gazaouis ont admis qu'ils avaient peur de critiquer le Hamas mais aucun n'a dit qu'ils avaient été forcés par l'organisation de rester sur les lieux propices au danger afin de servir de boucliers humains »[154]. Selon l'organisation, « ces professionnels de l'information ont été soit victimes de raids aériens indiscriminés soit délibérément visés »[168]. Le 23 novembre, la police israélienne et le Shin Bet ont annoncé l'arrestation d'un Arabe israélien et de plusieurs Palestiniens de Beit Laqiya dans la région de Ramallah en Cisjordanie quelques heures après l'attentat. Une trêve humanitaire demandée par l'ONU est acceptée par Israël et, cette fois-ci, par le Hamas. Israël se réserve le droit d'attaquer les terroristes dans le cas d'une attaque ou d'une attaque potentielle. Only then will Israel be calm for forty years. Elle annonce avoir détruit la quasi-totalité de ces rampes[42],[43],[44]. Après plus de dix jours de bombardement, le 17 juillet 2014, Israël a décidé de lancer une opération militaire terrestre dans la bande de Gaza. Elle entre en vigueur le 17 juillet à 9 heures (heure française) pour une durée de cinq heures[187]. La responsable de la politique étrangère européenne, Le secrétaire général de l'OTAN Anders Fogh Rasmussen a déclaré : « Israël a évidemment le droit de légitime défense, les attaques contre Israël doivent prendre fin. Matthieu Mabin estime que « cette découverte est au cœur de la polémique qui oppose l’État d’Israël à certains membres de la communauté internationale, lequel État d’Israël est accusé de frapper des sites protégés par les conventions internationales ». Catherine Ashton haut représentant pour les affaires étrangères et la politique de sécurité pour l'Union européenne a déclaré être préoccupée par l'escalade de la violence et a demandé « l’arrêt des attaques à la roquette de la part du Hamas et d'autres groupes depuis Gaza, qui ont provoqué la crise actuelle et qui sont totalement inacceptables et doivent cesser. Le Hamas est accusé par une organisation israélienne d'avoir commis des crimes de guerre en exécutant des palestiniens accusés de collaboration avec Israël[201]. L'Égypte et Israël ont localisé et détruit un certain nombre de ces tunnels traversant leurs frontières, et Israël a détruit un certain nombre de tunnels dans la bande elle-même[115]. Pendant les trêves, des roquettes ont été tirées depuis Gaza en direction de l'État hébreu[113]. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Le Centre palestinien pour les droits de l'homme (PCHR) dénombre 531 morts [20] et 340 morts sont recensés par Euromid Observer For Human Right [21]. Elle tire son nom de sa principale ville, Gaza. En juillet 2014, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme, Navi Pillay, a accusé Israël et le Hamas de violer les règles de la guerre. Un de ses tweets sur les frappes israéliennes contenait une photo d'une jeune fille morte qui, auparavant, avait été publiée sur une page Facebook en octobre 2012[126]. Certaines de ces roquettes sont de fabrication locale tandis que d'autres sont importées, en contrebande[105]. 35 % des terres agricoles et 85 % des eaux de pêche sont interdites d'accès à la population à la suite du Blocus de la bande de Gaza depuis juin 2007. Le 12 novembre, le président palestinien Mahmoud Abbas fait l'annonce du projet de demande aux Nations unies d'une reconnaissance de la Palestine comme un « État non-membre » à l'intérieur des frontières d'avant la guerre de 1967. Du 14 au 21 novembre, les morts et blessés palestiniens sont dus aux raids aériens israéliens sur Gaza, tandis que les morts et blessés israéliens sont dus aux roquettes et obus de mortiers tirés par les diverses organisations militantes palestiniennes depuis Gaza. Le Hamas, cependant, affirme que leurs tunnels sont encore intacts en dépit des actions militaires israéliennes[116]. L'État ayant reconnu la compétence de la Cour coopère avec celle-ci sans retard et sans exception conformément au chapitre IX. Dans son rapport du 6 août le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme (HCDH), donne un bilan de 1 843 palestiniens tués. Israël a le droit de protéger sa population de ce genre d'attaques ». Le Hamas lance des centaines de roquettes (une dizaine le 1er juillet, 40 le 3 juillet, 80 le 7 et 146 le 8 juillet[69]) (plus de 1500 au 20 juillet) vers d'importantes villes israéliennes : Tel Aviv-Jaffa, Jérusalem ou même Haïfa. HRW souligne que les déclarations des dirigeants du Hamas et d'autres groupes armés semblent admettre l'intention de cibler des civils israéliens. Pour Israël, le casus belli est constitué par les attaques transfrontalières et tirs de roquettes contre le territoire israélien de moyennes et longues portées du Hamas, du Jihad islamique et diverses autres organisations islamistes de la bande de Gaza[8]. » (« Le but de cette opération est de renvoyer Gaza au Moyen Âge. Le chef de son bureau politique Khaled Mechaal, rival des dirigeants locaux de Gaza reconsidère sa décision de se retirer de ce poste. L'armée a lancé son opération par la mer et par la terre[97],[98] . Les conditions sanitaires sont désastreuses et les lieux de refuges totalement saturés. Mickey EdelsteinCommandant de la division de la bande de Gaza, Ismaël HaniyehLeader adjoint du Hamas Shabak L’armée israélienne a quant à elle interrompu toutes ses frappes sur la bande de Gaza[2],[95],[96],[97]. 875 roquettes, soit 58 %, ont atterri dans des zones inhabitées. Notre rapport dénonce la pratique courante des attaques de maisons par les forces israéliennes, qui ont témoigné d'un mépris choquant pour les vies des civils palestiniens en ne les avertissant pas et en ne leur laissant aucune chance de s'enfuir"[132]. Les deux camps revendiquent la victoire[2], Moshe Ya'alon Ministre de la Défense Durant le cessez-le-feu de 120h, 67 corps ont été trouvés, dont 18 Palestiniens que le Hamas annonce avoir exécutés pour être suspectés de collaboration avec Israël, Deux soldats israéliens meurent des suites de leurs blessures, Hamas, Jihad and Popular Legitimacy: Reinterpreting Resistance in Palestine Tristan Dunning, 2016, 2145 Palestinians, Including 578 Children, Killed In Israel’s Aggression, Palestinian leaders poised to join ICC in order to pursue Israel for war crimes, Enlèvement et meurtre de trois adolescents israéliens et opération « Gardiens de nos frères », commandant des Brigades Izz al-Din al-Qassam, Ministère des affaires étrangères d'Israël, Intervention militaire israélienne au Liban, Confrontation entre Israël et la bande de Gaza, meurtre de trois adolescents israéliens en juin 2014, Meurtre de trois adolescents israéliens en juin 2014, gouvernement palestinien d'union nationale, enlèvement de trois adolescents israéliens, Blocus de Gaza (section Tunnels de contrebande), Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, bureau de la coordination des affaires humanitaires, Conseil des droits de l'homme des Nations unies, Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme, Centre palestinien pour les droits de l'homme, Réactions internationales à la guerre de Gaza de 2014. Côté israélien on déplore officiellement la mort de 3 civils et de 53 soldats[135]. Le 14 juin, l’État hébreu lance l'opération « Gardiens de nos frères », durant laquelle sont arrêtés entre 350 et 600 Palestiniens[60],[61],[62], essentiellement des membres du Hamas, dont 56 qui avaient été relâchés en échange du soldat Gilad Shalit, en 2011, ainsi que des députés et le président du parlement Abdel Aziz Doweik. De janvier 2012 à octobre 2012, plus de 800 roquettes et obus de mortiers ont été tirés sur Israël depuis la bande de Gaza lors de la série de confrontations entre Tsahal, le Hamas et des groupes islamistes de la bande de Gaza[9],[10]. Selon des sources médicales gazaouies, 5 civils dont 3 enfants et 4 militants ont été tués durant ces raids. Selon un journaliste en poste à Gaza, un groupe de 22 journalistes étrangers et de ressortissants turcs travaillant pour le Croissant-Rouge ont demandé aux autorités du Hamas la permission de quitter l'enclave côtière, mais cela leur a été refusé. Elle fait état de « plusieurs cas de harcèlements, de menaces, et d'interrogatoires de journalistes » au sujet de leurs reportages. L'armée israélienne a mené un certain nombre d'attaques sur les tunnels. La destruction des tunnels est devenue l'un des principaux objectifs des forces israéliennes dans le conflit 2014. 177 Palestiniens ont été tués, 120 d'entre eux étaient « engagés dans des activités terroristes ». Sami TurgemanCommandant du Sud Dès sa nomination, ce professeur de Droit canadien connait, et à travers lui, le Conseil des droits de l'homme des Nations unies (OHCHR), une large campagne de délégitimation dans les médias israéliens, Benyamin Nétanyahou affirmant que l'OHCHR avait « déjà écrit son rapport » tandis que Schabas estimait, lui, que « ses détracteurs (…) voudraient juste voir la commission disparaître ». Selon le New York Times, plusieurs Palestiniens seraient morts à cause de roquettes palestiniennes qui ont atterri à l'intérieur même de la bande de Gaza[109]. L'armée israélienne détruit au moins 34 tunnels[44] d'attaques et deux tiers des 10.000 roquettes du Hamas sont épuisées ou détruites[45]. nécessaire]. 26 installations de fabrication d'armes et de stockage. La France qui soutient ouvertement Israël à tous les niveaux est complice de crime de guerre. Selon le magazine Air Combat, no 9 de novembre 2014, l'armée de l'air israélienne a lancé des raids sur 4762 sites entre le 8 juillet et le 5 août 2014 et plus de 5800 missions au 26 août 2014[90]. : Strong international pressure helped to contain the Second Gaza War quickly. Plusieurs cessez-le-feu temporaires ont eu lieu, notamment pour permettre à l'aide humanitaire de se rendre dans Gaza[99]. Le coordinateur de l'ONU pour le Proche-Orient, Robert Serry, annonce le 16 septembre 2014 un accord entre le gouvernement israélien et l'Autorité palestinienne sur la mise en place d'un « mécanisme provisoire » pour accélérer la reconstruction de Gaza[81]. En tout, 97 installations de l'UNRWA et 142 écoles de l'ONU ont été endommagées[173]. Leur utilisation met en danger les civils et viole le droit international humanitaire » a déclaré Ann Harrison, Directrice adjointe pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord de l'ONG[116]. 1 500 frappes aériennes dans la bande de Gaza. Pas un seul juif ne vit dans ce territoire, et pourtant le Hamas n’a pas déposé ses armes. Deux roquettes ciblant Jérusalem ont atterri pour la seconde fois à proximité de Bethléem dans les Territoires palestiniens, quelques heures après que le gouvernement israélien a déclaré qu'il reportait de 24 heures une opération terrestre pour donner une chance à la diplomatie et quelques instants l’arrivée du Secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, dans la capitale israélienne. Le 11 juillet, une roquette est pour la première fois tirée du Liban, ne faisant ni victime ni dégât[119]. Sur les 740 roquettes tirées de Gaza vers Israël à cette date, 245 menaçant directement des localités israéliennes ont été interceptés, les autres se dirigeant vers des zones inhabitées sont ignorées par ces batteries et 27 roquettes, soit 4 % du total, ont atteint des zones urbaines[54]. Le Hamas a aussi été accusé d'avoir détourné des images d'enfants qui ont été blessés ou tués durant la Guerre civile syrienne, en les présentant dans les médias sociaux comme des victimes de l’opération Pilier de défense. L’une porte sur les crimes présumés commis lors de la guerre de l’été 2014, dans la bande de Gaza, tant par l’armée israélienne, notamment pour ses « … « Pendant les dix jours de l'opération « Gardien de nos Frères » en Cisjordanie (avant le début du conflit à Gaza), Israël a arrêté environ 800 Palestiniens sans inculpation ni procès, a tué 9 civils et a effectué des descentes dans presque 1300 immeubles résidentiels, commerciaux et publics[61]. En réaction, le Hamas procède au tir de roquettes sur Israël. En riposte l'aviation israélienne a attaqué l'une des maisons de Ismaël Haniyeh dans le sud de la bande de Gaza et repris ses frappes, tuant 2 Palestiniens. Al Jazeera America y voit une montée des attaques racistes contre les Juifs français, ceci reflétant un changement dans les tendances démographiques»[182]. Selon Dominique Moïsi : « Aujourd'hui, les Juifs sont principalement attaqués par des gens irrités par l'action de l'armée israélienne et en tenant tous les Juifs pour responsables »[182]. La BBC signale une forte communication sur Twitter, 400 000 tweets échangés accompagnés de six photos présentées comme étant des images de la guerre à Gaza alors que ces photos ont été prises dans d'autres contextes[209]. Comme s’il voulait, Pour la première fois, les Brigades Izz al-Din al-Qassam utilisent le drone Ababil 1 (en). Un communiqué émanant du bureau du Premier ministre du Hamas, Ismaël Haniyeh, a fait part que l'Égypte les avait notifiés qu'Israël leur permettait de pêcher dans les eaux de Gaza jusqu’à six miles (9,6 km) du littoral au lieu de trois miles (4,8 km) préalablement[129]. Voilà déjà 16 ans que Tsahal s’est retirée de la bande de Gaza. L’enquête conduite par l'ONU a démontré qu'une roquette palestinienne en était la cause[120]. Des tunnels traversant la frontière avec l'Égypte ont été utilisés principalement pour la contrebande de marchandises et d'armes dans la bande de Gaza. Le projet de demande aux Nations unies d'une reconnaissance de la Palestine comme un État non-membre à l'intérieur des frontières d'avant la guerre de 1967 par le président palestinien Mahmoud Abbas, chef du Fatah et en conflit ouvert avec le Hamas a suscité l'opposition du Hamas qui rejette le droit à l'existence de l’État d’Israël et appelle à la libération de « toute la Palestine occupée ». À cette date près de 500 roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza sur Israël. Ainsi l’ONU indique qu'au début du mois d'aout 2014, 10 000 maisons ou appartements ont été entièrement détruits, soit une population sans hébergement évaluée à 65 000 personnes. : L'échange de tirs sur cette question s'est révélé particulièrement véhément pendant la guerre de Gaza. Le Conseil de sécurité des Nations unies a appelé à la fin des violences après une réunion d'urgence[48]. Les factions de la résistance vont observer son comportement sur le terrain et agir en conséquence », « d'une autre preuve que le Hamas utilise la population de Gaza comme, « l’arrêt des attaques à la roquette de la part du Hamas et d'autres groupes depuis Gaza, qui ont provoqué la crise actuelle et qui sont totalement inacceptables et doivent cesser. », Des responsables palestiniens ont demandé au, Le ministre égyptien des affaires étrangères réprimande, Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères iranien condamne les frappes israéliennes et déclare qu'elles sont le « signe de la brutalité du régime, Le ministre des Affaires étrangères s'est dit « préoccupé par l'escalade de violence entre les Israéliens et les Palestiniens dans laquelle le chef du Hamas, Le ministre des Affaires étrangères tchèque a publié une déclaration disant : « La République tchèque regrette profondément la perte de vies civiles en Israël et à Gaza, ainsi que l'escalade actuelle bien que dans la situation la République tchèque reconnaisse pleinement le droit d'Israël à l'autodéfense contre les tirs de roquettes effectués par les organisations militantes dans la bande de Gaza. Les bombardements israéliens reprennent après une trêve de six heures alors que les tirs de roquettes du Hamas n'avaient pas cessé[186]. Dans une large mesure, l'enclave palestinienne est privée de nourriture, d’eau, d’électricité et d’accès au soin. Depuis le début de l'offensive, les Brigades Izz al-Din al-Qassam, le Jihad islamique palestinien et d'autres mouvements ont tiré des centaines de roquettes (surtout des roquettes Qassam ou d'autres roquettes livrées selon Michel Goya par la Syrie et l'Iran)[110]. »[11] Certains sites de lancement de roquettes sont positionnés à proximité d'hôpitaux, d'écoles et de terrains de jeux, de mosquées de lieux publics et d'habitations[12],[13]. Ahmed Jaabari avait déjà fait l'objet d'une tentative d'assassinat en 2004 et la frappe aérienne avait tué un de ses fils et plusieurs autres membres de sa famille[7]. 62 roquettes ont été tirées sur Israël durant cette journée : 42 sont tombées dans des zones inhabitées, les autres ont été interceptées par Iron Dome[93]. Deux roquettes sont tombées dans le port d'Ashdod, Ashkelon, Beersheva endommageant un autobus et tuant un bedouin israélien, ces tirs ont fait 16 blessés portant leur nombre à 252[76]. En réponse aux attaques, Israël bombarde Gaza, effectuant plus de 200 raids et attaquant 750 cibles, causant majoritairement des pertes civiles selon les secours locaux[72]. Le ministère encourage un apaisement des tensions des deux côtés et soutient un processus de paix par la diplomatie plutôt que la violence. Durant les hostilités, l'UNRWA a indiqué avoir découvert à plusieurs reprises des armes dans ses écoles lors d'inspections de routine[107],[108],[109]. International; Guerre de Gaza : la main de Téhéran Depuis l'annonce du cessez-le-feu, la République islamique insiste sur l'aide militaire qu'elle a apportée au Hamas. La guerre de Gaza de 2014 est un conflit armé se déroulant durant les mois de juillet et d'août 2014, opposant l'État d'Israël à diverses forces paramilitaires palestiniennes dont le … Une roquette frappe de plein fouet un immeuble d'Ashdod endommageant un appartement faisant 4 blessés ; une autre détruit une maison, inoccupée lors de l'attaque, dans une localité du Sud d'Israël[59]. Civils palestiniens dans un immeuble touché par une frappe aérienne de l’armée israélienne, le 21 août, à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza. Le Centre palestinien pour les droits de l'homme a déclaré qu'une enquête qu'ils ont conduite indiquerait que la mort d'un enfant de quatre ans et d'un adulte au nord de la bande de Gaza a été causée par une roquette palestinienne[115]. Le 26 août 2014, l'Égypte, l'État de Palestine et Israël ont annoncé qu'un accord de cessez-le-feu permanent a été trouvé et entrait en vigueur le jour même à 16h GMT, ce dernier inclurait un arrêt immédiat des hostilités, l’ouverture des points de passages entre Gaza et Israël uniquement pour faire circuler l’aide humanitaire et d’urgence et l'extension de la zone de pêche Gazaouie, passant de 3 à 6 puis à 12 milles marins[78]. Force de l'air Le 5 août, Matthieu Mabin et Gallagher Fenwick, envoyés spéciaux de France 24 dans la bande de Gaza ont découvert un site de lancement de roquettes du Hamas, se trouvant « au milieu des habitations des Gazaouis, à quelques mètres seulement d’un bâtiment de l’ONU ». La situation est similaire pour toute la région sud d’Israël dans un rayon de 40 km de la bande de Gaza depuis la Guerre de Gaza en janvier 2009. Israël a affirmé avoir visé « des infrastructures du Hamas », aucun mort n'a été a déploré selon le ministère de la Santé à Gaza[86]. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, souligne et déplore qu'« en 2009, la communauté internationale se soit déjà réunie » en Égypte pour la reconstruction de Gaza et qu'elle soit à nouveau réunie avec le même ordre du jour. Il a ajouté que « le Hamas doit être aidé afin de continuer à combattre Israël et lancer des roquettes sur Tel-Aviv et Jérusalem et détruire de nombreux véhicules militaires israéliens »[132]. Le secrétaire d'État américain John Kerry demande un retour aux négociations entre Israéliens et Palestiniens soulignant qu'un « un cessez-le-feu, ce n'est pas la paix » et que les parties en conflit doivent faire des choix difficiles afin d'assurer une paix durable. Le 21 novembre 2012, lors d'une conférence de presse au Caire à l'occasion de l'annonce du cessez-le-feu entre le Hamas, les groupes islamistes de Gaza et Israël, Khaled Mechaal, chef du bureau politique du Hamas, a « loué l'Iran pour son soutien financier et en armement aux Gazaouis »[131].
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