Lu dans L'Action française 2000 : Reza Pahlavi, né le 31 octobre 1960 à Téhéran, fils aîné du dernier chah d'Iran, est, selon la Constitution iranienne de 1906, l'héritier du trône perse, dit « Trône du … Le procurseur général de la révolution islamique, Hossein Moussavi Tabrizi, précise, le 18, que mille cinq cents membres du P.C. Cette activité du parti Tudeh, ajoutée à la présence de l'Union soviétique dans le pays, a encore plus déstabilisé le pays. À la différence du Baas syrien, le Baas irakien n'a pas connu (ou n'a que peu connu) les âpres luttes intestines entre clans rivaux. Malgré les avancées qu'il fait faire au pays, son style de gouvernement dictatorial et son combat pour la modernisation de l'Iran en dépit des positions du clergé lui valent de grands ressentiments parmi la population. et brouille avec Moscou. (La religion musulmane) - L'étude de l'islam et ses enjeux, (Histoire) - Le monde musulman contemporain, Contre-offensive du régime à Alep et extension du conflit aux pays voisins. Avec l'assistance étrangère, Mohammad Reza Chah a été capable de maintenir la stabilité financière malgré l'assassinat de Mansour et une tentative d'assassinat sur sa personne le 21 janvier 1965 par des membres d'un groupe radical islamique lié à Khomeini. Un capitalisme d'État nourri par la rente pétrolière assure un développement économique à marches forcées, qui donne la priorité à l'industrie lourde et aux grands projets d'équipement. L'émergence d'une bourgeoisie d'affaires aux exigences politiques et économiques croissantes et d'une opposition d'inspiration religieuse chiite et populaire remet en cause les fondements du régime. C'est à partir de cette époque que commence l'influence américaine en Iran. Reza Shah est ainsi déposé à l’été 1941 et son fils aîné, Mohammad Reza Shah, âgé de vingt et un ans, lui succède. Ces opposants critiquaient le Chah pour ses réformes et les violations de la Constitution, qui limitait le pouvoir royal et reconnaissait l'existence d'un gouvernement représentatif. 2-30 septembre 1981, Tension entre Paris et Téhéran. En 1951, le Majlis nomma Mohammad Mossadegh nouveau premier ministre par un vote de 79 contre 12, qui, peu de temps après, nationalisa la compagnie pétrolière détenue par les Britanniques.  : […] Il prendra ensuite le poste de Premier ministre jusqu'en 1925. Le shah bénéficie des royalties que lui versent les compagnies occidentales à qui il a confié l'extraction du pétrole. Cette loi déclenche une vive propagande soviétique dans les cinq provinces du Nord (majoritairement azéries et qui étaient visées par la demande de concession de pétrole soviétique). L’Ayatollah Khomeiny revient finalement en Iran après la révolution et accède au pouvoir le soir du 11 février 1979 : c’est la fin de l’empire d’Iran et le début d’un régime islamique. La situation est rendue encore plus tendue par le fait que les troupes américaines et britanniques étaient en train de se retirer du pays. Si la croissance globale permet de faire passer le revenu moyen par habitan […] 7 janvier 1978.  : […] La dynastie Pahlavi est la dernière des dynasties perses dont la première fut la dynastie achéménide vers -550. Parallèlement, d'autres troupes soviétiques empêchent les troupes gouvernementales iraniennes de rentrer en Azerbaïdjan et au Kurdistan. En Iran, la grande surprise des années 1978-1979 a été constituée par l'ampleur et la rapidité du mouvement de contestation politique animé par les dirigeants religieux chiites à la tête desquels se trouve l'ayatollah Khomeyni , en exil en Irak, puis en France ; cette opposition, bien structurée, est effective à partir du moment où le gouvernement du chah a lancé une politique démesurée d'industri […] Ces plans incluaient le développement d'industries lourdes, de projets d'infrastructures majeurs, la construction d'un chemin de fer national, le Trans-iranien, la création d'un système d'éducation public national, la réforme de la justice jusque-là contrôlée par le clergé chiite par la création du code civil iranien, et l'amélioration de l'hygiène et du système de santé. En 1942, les États-Unis, alliés du Royaume-Uni et de l'URSS, envoyèrent une force militaire en Iran pour aider à maintenir et à faire fonctionner des sections du chemin de fer. Les partis politiques se développèrent et les élections de 1944 au Majlis furent les premières à voir un peu de compétition en plus de 20 ans. Les mollahs, eux, veulent juste le faire régresser, leur pays. La révolution islamique chiite remplace alors le régime du shah d'Iran. Son père ayant abdiqué en 1941, Muḥammad Reza prête serment et devient shāh l […] L'Irak dirigé par Saddam Hussein, c'est une dictature sans pitié, où la population, qui vit dans la misère et la crainte, est surveillée, quadrillée, par un appareil d'État brutal. Cette loi autorisait les Américains à être jugés par les États-Unis plutôt que par des tribunaux iraniens. Lire la suite, Dans le chapitre «  L'ébranlement iranien » Cependant, ces mesures provoquèrent les meneurs religieux qui craignaient de perdre leur autorité traditionnelle, ainsi que les intellectuels qui cherchaient les réformes démocratiques. https://graphics.france24.com/anniversaire_revolution_iranienne_35ans Pour apprécier équitablement la portée des expressions officielles, il faut utiliser le concept de cohérence recherchée dans l'actuelle phase d'émergence de forces sociales nouvelles ; mais il faut aussi faire un inventaire sans complaisance : de l'équipement mental des « élites dirigeantes » et de leurs clientèles ; des pesanteurs socioculturelles propres à chaque société ; des conditions politi […] Les Pahlavi ont régné sur le pays pendant 53 ans. Le fils de Chah, le prince héritier du trône d'Iran Reza Pahlavi, représente à l'heure actuelle le dernier Pahlavi prétendant et ne cesse de lutter pour retrouver le pouvoir. Le 1 février 1979, l'ayatollah Khomeini revient à Téhéran après 14 ans d'exil. Sous la pression conjointe des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de l'ONU, les Soviétiques obtiennent finalement une concession et acceptent de retirer leurs troupes du territoire iranien. ), mouvement d'opposition en exil présidé par l'hodjatoleslam Mohamed Bakr el-Hakim, annonce que plusieurs villes sont aux mains des insurgés. Après des études à Ispahan, il poursuivit une scolarité francophone à Beyrouth, puis en France, où il apprit à son arrivée en 1934 l'exécution par Rezā Shāh de son père Sardār Fāteh. À Téhéran, l'Assemblée suprême de la révolution islamique en Irak (S.A.I.R.I. Il crée pour cela un nouveau parti politique, Iran Novin, « Nouvel Iran », loyal à la couronne, s'attirant le soutien de l'élite technocratique et des masses éduquées, afin de renforcer l'administration et l'économie du pays. En janvier 1942, les Alliés signèrent un accord pour respecter l'indépendance de l'Iran et retirer leurs troupes au maximum 6 mois après la fin de la guerre. En 1964, le Chah rejoint les chefs d'État de la Turquie et du Pakistan afin de créer une nouvelle organisation : la Coopération Régionale pour le Développement. Elle entraîne la mise en place d’une république islamique. Même si le Royaume-Uni, à travers la possession de l'Anglo-Iranian Oil Company, contrôlait les ressources pétrolières de l'Iran, Reza Chah préféra obtenir de l'assistance de l'Allemagne, de la France, de l'Italie et d'autres pays européens. Les meneurs islamiques, particulièrement le religieux en exil Ayatollah Rouhollah Khomeini, réussirent à focaliser le mécontentement des masses populaires grâce à une critique du règne du Chah et à une idéologie liée aux principes islamiques. En 1979, une révolution inspirée par l’ayatollah Khomeiny renverse le régime du shah. L'armée et la police secrète, la Savak, répriment les émeutes dans le sang, en vain. En échange, les généraux du shah doivent appuyer le nouveau gouvernement du Premier ministre Shapour Bakhtiar. Après 14 ans passés en Irak, il s’installe en France en 1978. Khomeini évoqua à plusieurs reprises lors de la révolution 60 000 martyrs victimes du régime du Shah. Le régime du shah était ce qu’il était, mais, en effet, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ensuite, ça n’a vraiment pas été mieux. Mohammad Reza Chah signe par exemple en 1965 un accord afin d'échanger du gaz iranien contre une assistance technique russe pour la construction de hauts fourneaux. Au moment du vote en octobre 1964, 65 parlementaires se sont absentés du Parlement et 61 ont voté contre. Le régime autoritaire qu'il dirige est soutenu par les États-Unis. 2-31 mars 1991, Mise hors la loi du P.C.  : […] C'est ainsi que, bon gré mal gré, les « militaires » ont dû céder le pas aux « civils », au prix de mises à l'écart et de purges préventives. 1979 - Iran En 48 heures, le régime du Shah d'Iran a finalement été balayé. II. Une grève de chauffeurs de taxi se déclenche à Téhéran et Mansour est obligé d'abandonner l'idée des taxes sur le carburant en janvier, six semaines après leur mise en place. LE CONTEXTE 11 février 1979 La révolution iranienne, souvent appelée révolution islamique, est le processus de renversement du gouvernement impérial de Mohammad Reza Pahlavi, deuxième shah de la dynastie Pahlavi, au pouvoir en Iran depuis 1953. En 1949, une tentative d'assassinat du Chah, attribuée au parti Tudeh, eut pour conséquence le bannissement de ce parti et le renforcement des pouvoirs constitutionnels du Chah. L'État impérial d'Iran (en persan دولت شاهنشاهی ایران), parfois abrégé en Empire d'Iran, est le régime politique de l'Iran de 1925 à 1979. Il avait pour cela besoin d'un gouvernement centralisé et fort, ainsi que de plus d'indépendance par rapport à la Grande-Bretagne et à la Russie, ce qu'il obtiendra en annulant les droits spéciaux accordés aux étrangers pendant l'époque qajar. Le système politique s'ouvrit un peu plus par la suite. URL : https://www.universalis.fr/encyclopedie/revolution-islamique-iranienne/. Le Chah nomme alors Amir Abbas Hoveyda premier ministre ; c'est le début d'une décennie d'importante croissance économique et du renforcement militaire du pays dans la région du golfe Persique. consulté le 09 mai 2021. Ils ont permis au fils de Reza Chah, Mohammad Reza, de lui succéder sur le trône. Mais la répression continue de la part du gouvernement qui était montrée du doigt par des groupes pro-démocratiques, et ses avancées socio-économiques irritaient le clergé. En Iran, aujourd'hui, plus personne ne croit aux récits des crimes du Shah, largement relayés en 1979 par les journaux alignés comme Le Monde, aux côtés des partisans de Khomeiny. Mansour crée quatre nouveaux ministères, qui permettent d'introduire plus de rationalisation dans la planification et le budget, et nomme de jeunes administrateurs aux postes-clés. Lors du premier recensement national, en 1956, l'Iran compte 19 millions d'habitants dont 69 p.  […] Après avoir successivement liquidé, entre mai 1978 et juillet 1979, le Parti communiste (P.C.I. Il était dirigé par la dynastie Pahlavi, qui lui donna deux souverains : Reza Chah et Mohammad Reza Chah. Ces deux républiques autonomes bénéficient du soutien de l'URSS, et les troupes soviétiques occupent des parties du Khorasan, du Gorgan, du Mazandaran et du Gilan.  : […] Au même moment, le mouvement autonomiste kurde crée la République de Mahabad au Kurdistan iranien. Ces actions furent perçues comme anti-islamiques et résultèrent dans une opposition encore plus grande du clergé. Ce matin de janvier, parait dans le journal proche du régime du Chah, un article intitulé "l'Iran et les colonialistes rouges et noirs". Durant le premier semestre de 1978, de violentes émeutes éclatent dans diverses villes notamment à Tabriz, à Qom, à Mechhed, à Téhéran ; elles reçoivent le soutien des autorités religieuses shi'ites (les ayatollahs, littéralement « signes de Dieu ») et surtout du plus célèbre et du plus populaire, l'ayatollah Khomeyni qui, de Nadjaf, en Irak, lance de virulentes attaques contre le shah, appelant […] Lire la suite, Dans le chapitre « Khomeynī et la politisation du shī‘isme » Le régime vit ses dernières heures avant le retour triomphal de Khomeiny et l'instauration d'une République islamique. Cet événement retarda de deux ans un b […] Le régime autoritaire qu'il dirige est soutenu par les États-Unis. Même si l'Iran ne respecte pas scrupuleusement les droits de l'homme sous le régime du Shah, perçu comme autoritaire et autocratique, il souscrit officiellement aux droits de l'homme, à leurs Déclarations, du moins et il mène une action de réflexion sur ceux-ci conjointement aux pays du … L'influence soviétique diminue encore plus en 1947, quand l'Iran et les États-Unis signent un accord portant sur de l'aide et du conseil militaire afin d'entraîner l'armée iranienne. Cet article concerne le régime. Mostafa Fateh, membre du parti Tudeh , parla de 18 000 morts [ 48 ] . Les opposants au régime du Shah affirmaient que ce dernier détenait plus de 100.000 prisonniers politiques (" la prise de la Bastille" de l'époque !) Aujourd'hui, le pays sous sanctions internationales est en pleine crise économique, sociale et politique. La contestation contre le régime du shah s'exprime depuis plus de 7 mois en Iran, paralyse le pays et contraint celui-ci à l'exil. Mohammad Reza Chah modernise l’industrie iranienne et, grâce aux revenus très importants du pétrole, l'Iran entre dans une période de prospérité fulgurante et de modernisation accélérée, mais la société, bouleversée dans ses racines, souffre du manque de moyens d'expression. Une redoutable police politique (la Savak) réprime férocement toute opposition. Depuis le coup d’État de la CIA de 1953 contre le gouvernement de Mossadegh, toute opposition, des nationalistes aux communistes, a été liquidée physiquement, victime des tribunaux d’exception, d’exécutions sommaires, d’assassinats, de tortures. Élargissez votre recherche dans Universalis. Cette option est réservée à nos abonné(e)s. Encyclopædia Universalis - Contact - Mentions légales - Consentement RGPD, Consulter le dictionnaire de l'Encyclopædia Universalis. Ces informations sont relayées par l'agence officielle […] Lire la suite, la télévision iranienne. Il soutient les royalistes pendant la guerre civile du Yémen (1962-1970). Pour la dynastie, voir, Règne de Mohammad Reza Chah et influence américaine en Iran, Union des républiques socialistes soviétiques, Politique étrangère du Troisième Reich avec le Moyen-Orient, célébration des 2 500 ans de monarchie perse, Liste des dirigeants de la Perse et de l'Iran, Site officiel de l'impératrice Farah Pahlavi, Site officiel du prince Gholam Reza Pahlavi, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=État_impérial_d%27Iran&oldid=182534518, Portail:Iran et monde iranien/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Au moins le shah voulait-il faire avancer son pays, même si les moyens utilisés choquent nos raisonnements d’occidentaux gâtés. Khomeini, libéré de son assignation à domicile depuis avril 1964, dénonce cette loi devant une très grande assemblée à Qom en novembre 1964.  : […] Le chaos s'installe tandis... «  RÉVOLUTION ISLAMIQUE IRANIENNE (1979)  » est également traité dans : Né en 1914 dans la famille des chefs Bakhtyāri, grande tribu du sud-ouest de l'Iran, Chapour Bakhtiar (Shāpur Bakhtyār) fut marqué par l'esprit frondeur et combattant des siens.  : […] Mohammad Reza Pahlavi remplaça son père sur le trône le 16 septembre 1941. De 1980 à 1988, la guerre contre l’Irak consolide le régime et permet l’affirmation de la puissance régionale de l’Iran. L'État impérial d'Iran (en persan دولت شاهنشاهی ایران), parfois abrégé en Empire d'Iran, est le Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Accueilli triomphalement à Téhéran, il instaure une république islamique nationaliste, anticapitaliste, antisioniste et anti-impérialiste, dont la législation s'inspire de la charia (la loi islamique). Le Royaume-Uni demanda à l'Iran d'expulser tous les citoyens allemands, mais Reza Chah refusa, soutenant que cela aurait un impact négatif sur ses projets de développement. Bien que les conditions économiques s'améliorent, le pays n'a pas encore récupéré de la récession de 1959-1963, qui avait imposé des restrictions très fortes aux classes pauvres. L'éditorial qui met le feu aux poudres. https://www.laliberte.ch/.../articles/la-revolution-ratee-du-shah-d-iran-379970 La chute du Chah. Le Chah essaie dans les années 1960 de créer un climat politique plus actif pour accélérer le futur de l'Iran. La dernière modification de cette page a été faite le 3 mai 2021 à 08:48. Au milieu des années 1970, s'appuyant sur la croissance des revenus pétroliers, le Chah commença une série de projets encore plus larges et ambitieux pour le progrès de son pays et la marche vers la « Grande civilisation ». La nouvelle législature, dominée par le Front national de Mossadegh fait passer une loi imposant au gouvernement d'exploiter lui-même ses ressources pétrolières. Là, les négociations s'engagent avec les pirates, qui finissent […] Lire la suite. Des projets majeurs de construction d'infrastructures en Iran furent menés, une classe moyenne nouvelle émergea et en moins de deux décennies, l'Iran devint un acteur majeur au Moyen-Orient, politiquement et militairement. À son retour en Iran, son père l'initie à la vie politique et, tout en fréquentant le collège militaire de Téhéran, il se prépare au rôle d'héritier du trône. En vingt-cinq ans, depuis le coup d'État de 1953 rétablissant l'autorité du shah, l'Iran a été le théâtre de mutations radicales affectant de proche en proche toutes les couches de la société. À partir du 9 et pendant tout le reste du mois, des moudjahiddin du peuple (gauche islamique) descendent, par petits groupes, dans la rue à Téhéran pour exprimer leur opposition au régime de Khomeyni […] Lire la suite, sous le régime du shah en 1974, et dont l'exécution avait été suspendue après le début de la révolution islamique. Ils tournèrent tous deux leur attention vers l’Iran. Bien que ses projets de développement nécessitaient l'expertise technique étrangère, il évita de conclure des contrats avec des compagnies britanniques et soviétiques. Ce parti remporte les élections parlementaires du 21e Majles en septembre 1963. L'incident des îles du golfe Persique pose un problème à l'Irak, qui rompt les relations diplomatiques avec Téhéran jusqu'à l'accord d'Alger en 1975, accord qui règle les questions de navigation sur le Chatt-el Arab et de soutien de l'Iran à la rébellion kurde dans le nord de l'Irak. Le Shah mourra peu après, lors de son retour en Egypte pour une intervention chirurgicale. Iran : La réalité de la répression à l’époque du Shah 27.02.2010 .  : […] Le Chah lui-même se voyait comme un héritier des rois de la Perse antique, et en 1971, il organisa la célébration des 2 500 ans de monarchie perse. À son retour en Iran, son père l'initie à la vie politique et, tout en fréquentant le collège militaire de Téhéran, il se prépare au rôle d'héritier du trône. Le 19 août 1953, le Premier ministre du chah d'Iran, Mohammad Mossadegh (73 ans), est démis de ses fonctions sous la pression des Britanniques. Muḥammad Reza (Rīza) est le fils aîné de Reza shāh. Reza Chah avait des plans ambitieux pour moderniser l'Iran. Après 1946, ce mouvement politique devint de plus en plus populaire. « RÉVOLUTION ISLAMIQUE IRANIENNE (1979) », Encyclopædia Universalis [en ligne], Le Royaume-Uni et l’URSS voyaient dans le chemin de fer Trans-Iranien un excellent moyen de transporter du matériel et de la nourriture du golfe Persique jusqu’à la région soviétique. pour l’Egypte, puis pour les USA. Le 21 mars 1935, il demande officiellement à la communauté internationale de ne plus utiliser le terme « Perse » mais de se servir du nom « Iran » pour désigner son pays (qui est le nom en langue locale depuis toujours) et ordonne la même année l'interdiction du port du voile pour les femmes et l'obligation de porter un habit « à l'occidentale » pour les hommes. Au début des années 1930, certains Iraniens avaient commencé à militer pour la nationalisation des champs de pétrole. Les Britanniques et les Soviétiques ont permis la chute du système de gouvernement de Reza Chah et ont limité les rapports avec le gouvernement constitutionnel. Élevé à l'École des cadets, il reçoit une éducation française et poursuit ses études en Suisse de 1931 à 1936. En 1935, Reza Chah changea le nom international du pays de « Perse » en « Iran » et le pays prit alors le nom d'État impérial d'Iran. En 1943, à la conférence de Téhéran, les États-Unis réaffirmèrent cet engagement. L'Assemblée nationale, connue sous le nom de Majlis, convoqua une Assemblée constituante le 12 décembre 1925, déposa le jeune Ahmad Shah Qajar puis proclama Reza Chah nouveau monarque du pays, auquel il fit prendre le nom d'État impérial de Perse. Le principal opposant du régime est en exil depuis 1964 pour avoir dénoncé et critiqué la gouvernance pro-américaine du Shah : Rouhollah Khomeiny. Lire la suite, Dans le chapitre «  Aux sources de la révolution et de la République islamiques » 4 mai 1983, Multiplication des exécutions et des attentats. En septembre 1978, la contestation du régime de Reza Palhavi, le shah d'Iran, s'intensifie. Lire la suite, Dans le chapitre « La fin du régime impérial » Lire la suite, , Saïd Jalili, représentant personnel du Guide suprême de la révolution iranienne Ali Khamenei, se rend à Damas où il déclare au président Bachar al-Assad que « l'Iran ne permettra jamais la destruction de l'axe de la résistance [à Israël et aux États-Unis] dont la Syrie est un pilier essentiel […] Lire la suite, renforcent leur présence.

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