If we are not keen to the past, we’re likely to find ourselves mired in its ills again. In BlacKkKlansman you sense Lee’s passion more than his technique. 324 abonnés "BlacKkKlansman" is a true conversation starter, and probably a conversation ender as well. En effet on avait déjà eu affaire à cette vision à travers le film Malcolm X avec le grand Denzel Washington. 4 abonnés #BlackLivesMatter. BlacKkKlansman is a furious, funny, blunt and brilliant confrontation with the truth. Lire ses 379 critiques, Suivre son activité Indescriptible ! Spike Lee is relevant again. La bande son, très Seventies aussi, est toujours aussi entraînante. We are shown it being screened at a Klan meeting, and it also figures in a pre-credits short film starring Alec Baldwin, playing the awesomely named Dr. Kennebrew Beauregard. Surtout quand on sait qu’elle est inspirée de faits réels. Via un fait réel aussi rocambolesque, Spike Lee livre justement un film qui nous montre un climat de tension raciale bouillonnant dans une histoire au ton fun et léger,mais paradoxalement en ne prenant aucun gant dans la manière de montrer le racisme verbal ou physique. John David Washington et Adam Driver sont impeccables dans leurs partitions, un jeu tout en subtilité demandant de changer de nombreuses fois de personnalités. If we are being asked to regard BlacKkKlansman as more than a movie, this may be another way of admitting that, on some fundamental level, it falls down as anything but revue sketch agitprop. Lee uses Blaxploitation motifs playfully but with purpose, honoring an era of discourse and activism while urging for the necessity of a similar film language now. Joel Crawford, Contact | C’est en effet une véritable bombe que Spike Lee fait exploser là avec à la fois la montée du Ku Klux Klan, doublé de cette histoire vraie sous forme d’un biopic/thriller qui nous met cet incroyable Ron Stallworth sous les feux de la rampe ! The open hostility, the jokes by his White counterparts, the assumption that your skin color determines your intelligence level—I've been there, done that and am still doing it. Cependant, il ne faut pas passer outre les seconds rôles incroyables que sont Topher Grace, Laura Harrier, Jasper Pääkkönen. Quel suspens de chaque instant à couper le souffle ! ), et on en passe... BlacKkKlansman comes across as equally entertaining and disturbing, which is most likely what Lee intended. Instead, the obvious fakery of the gorgeous, celestial backdrop behind the Klan served as a middle finger to Griffith and his film. De plus, son film est très chargé de clins d’œil cinéphiles et parfaitement porté par l’interprétation exemplaire de John David Washington et Adam Driver, tous deux excellents dans le double rôle de Ron Stallworth, l’homme noir qui infiltra le KKK. And even then, the film seems to fear you might miss the point. Next, we meet our protagonist, who is played by Denzel Washington’s lookalike son, John David Washington. He’s the polemicist as insult comic, wedging truths between each karate chop to the (skin)head of racist America. Lire ses 1 025 critiques, Suivre son activité Le cinéaste ajoute son savoir-faire en utilisant des effets de style comme la répétition des images sur une action ou le split-screen et fait des hommages aux films des années 70 mettant en des personnages noirs en vedette. Son adaptation d’un livre sur le premier homme noir qui a infiltré le Ku Klux Klan dans les années soixante-dix lui permet de retrouver ce succès indéniablement. “That would happen?” Stallworth asks incredulously. Le scénario est écrit avec brio, prenant le soin de détailler chaque personnage, même si tous les choix faits ne sont pas forcément les meilleurs, mais surtout distillant par touches subtiles ou directes des parallèles inquiétants quant au racisme ambiant des Etats-Unis et dans le monde. Publicité | There’s always a sense he’ll be outed, especially by the tenacious Felix (a scary Jasper Pääkkönen), who immediately pegs him as Jewish and never lets up on his suspicions. BlacKkKlansman is Spike Lee’s best movie in years, bringing together everything that makes him such a dynamic, exciting, urgent filmmaker – as well as some of what can drive you crazy about him, too. “So you’ll be the Jackie Robinson of the Colorado Springs police department.” This analogy is a loaded and telling statement; Robinson was ruthlessly taunted by baseball fans who hurled the ugliest rhetoric at him, to which he could offer no response lest he be seen as “uncivilized” by the White fans who didn’t want him there in the first place. BlacKkKlansman is right up there with "Do the Right Thing" and "Malcolm X" in the Spike’s Joint pantheon of game-changers. It’s here where Lee works that aforementioned dichotomy, often playing Stallworth’s phone interactions for laughs (especially when talking to an excellent Topher Grace as David Duke) but keeping a masterful, tense grip on Zimmerman’s scenes. On note également une critique de la politique trumpiste, associée à ces suprématistes, mais critique un peu balourde par moment. Ce numéro d'équilibriste était déjà présent dans plusieurs films de sa filmographie, mais jamais sur un tel sujet. Washington (son of Denzel) has an impressive Afro and winning charisma as the first black cop in town. Using our viewpoint like a mirror, he pats his coif and stares directly at us with a confidence that will be repeatedly tested. Ainsi donc, BlacKkKlansman renoue avec une énergie qui semblait le fuir depuis quelques années. Ces deux personnes ne vont en former qu'une : Ron Stallworth ! Si la critique du racisme ou du "America First" n'est pas nouvelle, Blackkklansman se révèle juste sur absolument tous les points, d'une pertinence ludique et d'un côté piquant renvoyant presque à une comédie des frères Coen, Spike Lee semble également en paix, faisant un parallèle lourd de sens entre le caractère suprémaciste du Ku Klux Klan (brillamment tourné en dérision dans le film, faisant passer chaque membre pour des rednecks arriérés) et l'incitation à la haine des Black Panthers via le mouvement "Black Power" (mention spéciale au discours du leader Kwame Ture, joué par un Corey Hawkins extrêmement convaincant A ferocious mix of prankishness and cold fury that is one of the director’s strongest yet most entertaining works in years. Elle permet cependant à Spike Lee de mettre l’accent sur le danger des groupes fascistes américains. But his passing isn't visual, it's mental. I think it’s partially because I have firsthand knowledge of what Ron Stallworth went through as the sole Black person at his job. BlacKkKlansman is a furious, funny, blunt and brilliant confrontation with the truth. Des moments d’une puissance sans pareil sont également à noter, comme cette cérémonie du KKK alors qu’en même temps, se tient une réunion pour les droits civiques, organisée par une étudiante du Black Power. A perfectly decent comedy that will be accessible enough for a wide mainstream audience. 9 abonnés Comme toujours son complice Terence Blanchard est aux commandes pour un thème lancinant et envoutant. l' intelligence est demandée au spectateur, il doit spéculer sur lui même et apporter sa problématique, sa vision du racisme au film qu'il regarde….Pour revenir plus simplement au film, le rythme est tel, qu'on ne s'ennuie pas une seconde, mais c'est le rythme de l'humour, des dialogues, des grimaces, des visages ,.....il faut le dire, l'esprit équivoque du film, en fait un film qui fera grince des dents, et je me demande vraiment quel a pu être l'accueil dans le Sud des états unis….Faudra consulter le New York Times…..Pour ceux qui chercheront des références, je dégagerais Tarantino, ( Palm Grier, égérie de deux films) , Clint Eastwood, (l'esprit conquérant des blancs) et un plus ancien Gordon Douglas ? Le denier film correct de Spike Lee remonte à loin : 2006, avec Inside Man, au moins. Spike Lee is coming at you with his greatest and most galvanizing movie in years. At least Stallworth has a romance to distract him, even if he's being dishonest about what he does for a living. 1058 abonnés 57 abonnés As much as BlacKkKlansman plays with the mechanics of blaxploitation fantasy, it doesn’t leave one with any question about what’s real. Au-delà du fait de rendre le KKK nerveux, mais il est douteux que ses adeptes aillent voir le film, Spike Lee s'en prend au suprémacisme blanc qui représente une sorte d'hydre qui semble impossible à éradiquer et qui n'a pas sévi seulement en Allemagne nazie ou en Afrique du Sud. )….Ce qu'il faut retenir en dernier, c'est le brio de la réalisation parfaitement dans l'esprit des années 70 et la MAGIE qui ressort du jeu des acteurs et des dialogues….Foncez y.... « Pas de place pour la haine. Et malgré le côté débonnaire ou même fanfaron de cet infiltré un peu particulier au sein du KKK, on ne peut qu’être interpellé et passionné par cette association que Ron Stallworth crée avec son collègue pour arriver à ses fins, et quelles fins ! » Spike Lee est un cinéaste polémiste et véritablement engagé, son nouveau film a fait beaucoup parler de lui lors du dernier Festival de Cannes - ayant reçu le Grand Prix du jury - mais aussi lors de sa sortie en Amérique avec l'effet Anti-Trump ! They’ll forgive that he looks ridiculous because they believe, as Randy Newman once sang, that “he may be a fool, but he’s our fool.”. Lire ses 3 432 critiques, Suivre son activité Cette volonté démonstrative se superpose à la parodie et à l’énergie de la mise en scène, et finit par tempérer la portée de BlacKkKlansman. 23 abonnés BlacKkKklansman raconte l'histoire vraie d'un policier noir ayant réussi à infiltré le Ku Klux Klan. BlacKkKlansman presents racism as a dichotomy between the absurd and the dangerous; the film’s intentional laughs often get caught in one’s throat. Mads Mikkelsen, Thomas Bo Larsen, Lars Ranthe, Avec John David Washington est époustouflant et drôle à souhait, tout comme Adam Driver. The response to this question provides the biggest laugh of the year. We are republishing this piece on the homepage in allegiance with a critical American movement that upholds Black voices. In “Malcolm X,” he presented them riding “victoriously” into the night while a preposterously large moon hung in the sky. Lee dedicates “BlacKkKlansman” to Heyer’s memory, writing “rest in power” under a picture of her before ending his film with the only Prince song that could have ended it. Préférences cookies | : This freewheeling account of an African-American cop who infiltrated the Ku Klux Klan in the early 1970s is problematic as narrative drama, but stunning as provocation. BlackKklansman is the funniest Spike Lee movie in decades, a film of such wit, tension, passion and relevance that it is his most important work since “Malcolm X.”. It’s a quick scene but its intentions are unmistakable: Lee is evoking D.W. Griffith’s “The Birth of a Nation,” one of the most effective pieces of propaganda racism ever had, but he’s not paying it any tribute. The slight running time drags, a sensation not helped by Terence Blanchard's underwhelming score. Une tension extrême, un déroulement des faits limpide, un jeu d’acteurs au charisme impressionnant (Laura Harrier en particulier ! Votre avis sur BlacKkKlansman - J'ai infiltré le Ku Klux Klan ? It’s an alarm clock ringing in the midst of a historical nightmare, and also a symphony, the rare piece of political popular art that works in all three dimensions. La réalisation de Spike Lee est parfaite, jamais trop en douceur, cherchant toujours à faire vivre son spectateur. 357 abonnés With this undercover case, “BlacKkKlansman” becomes the story of two people engaged in the same bout of passing as a racist White person. There’s credible evidence that the KKK may be planning an act of violence during the appearance of another famous civil rights activist (whose identity I won’t reveal). It’s an alarm clock ringing in the midst of a historical nightmare, and also a symphony, the rare piece of political popular art that works in all three dimensions. Working with longtime editor Barry Alexander Brown, the director casually but fearlessly stirs things up, balancing brutal satiric comedy, unapologetic social commentary, convincing jeopardy, even appealing romance. Il sera alors épaulé par un camarade juif (qui lui sera sur le terrain) ! Lee’s latest is as much a compelling black empowerment story as it is an electrifying commentary on the problems of African-American representation across more than a century of cinema. There are few filmmakers as consistently, burningly passionate as Spike Lee. But his passing isn't visual, it's mental. BlacKkKlansman is a joke that sticks in your throat, as well as a necessary examination of blight history (those shameful marks on the American record when “white history” and “black history” awfully intersect). Bravo sans hésitation pour cette réalisation indispensable et nécessaire, un véritable pamphlet qui nous laisse littéralement sans voix, pour nous inciter à rester vigilant toujours et toujours, face à une barbarie menaçante plus que jamais et toujours galopante ! Dune, James Bond 25, Cruella, Suivre son activité Lee projects distracting images over Beauregard as he delivers his imperfect line readings, highlighting his incompetence to the point where you might ask yourself “who’d believe a thing this guy is selling?” But Dr. Beauregard will have plenty of buyers. was the notion of him having to "pass" in an environment that also automatically made assumptions about his skin color. 439 abonnés The title promises something of a biography, but I left the movie wanting to know more about Stallworth. One of Spike Lee’s best movies. Pas étonnant que Jordan Peele soit producteur du projet (Get Out) ! 288 abonnés Si la photographie un peu gris automnal a de quoi un peu rebuter parfois, Spike Lee livre une réalisation de très bonne facture,avec de vraies fulgurances (notamment cette scène enivrante dans une boite de nuit, ou la fin du film). Lire ses 1 444 critiques, Suivre son activité That Lee has crafted a funny film full of snazzy editing, stylish imagery and a tremendous blues rock score, yet is laser-focused on a very serious subject matter, demonstrates his mastery of the cinematic medium. C’est un véritable jeu avec le diable dans lequel s’est lancé Ron Stallworth ! Though Zimmerman, by virtue of the correct skin color, has what seems to be the easier task, he also bears the psychological brunt of having to pretend to be something that would despise his true identity. Spike Lee est pour le moins cette fois sacrément inspiré car sa recette osée et teintée de tragédie sans nom, d’humour caustique, et de références pop et seventies fait vraiment mouche, en nous scotchant dans nos fauteuils comme pas deux ! Néanmoins, l'acteur le plus transcendant est surement Ryan Eggold absolument terrifiant, incarnant jusqu'au bout des ongles ce leader de la cellule du KKK. We already are, of course. Sébastien Lifshitz, BlacKkKlansman - J'ai infiltré le Ku Klux Klan. Zimmerman is the “face” of Ron Stallworth, and the real Stallworth is the suspicious Black man following him around in the shadows taking surveillance pictures. Tout ce stratagème est donc pour le spectateur une occasion incroyable de se replonger dans le monstre du KKK, ainsi que de découvrir l’histoire unique de ce policier afro américain !

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